Salut à toutes et tous ! Aujourd’hui, pas de recette, mais on va parler d’un outil indispensable dans votre cuisine: le couteau santoku.
Pourquoi indispensable ? Ce couteau japonais est hyper polyvalent. Vous pouvez couper des légumes ou bien de la viande avec, aucun souci ! Pour ceux qui se demandent, « santoku » signifie littéralement « trois vertus » ou « trois usages » en japonais – pour découper, trancher et hacher. Plutôt pratique, non ? 😊
Avant de commencer, je dois vous faire une confession : dans ma cuisine, j’utilise principalement deux couteaux santoku depuis plus d’une décennie. Le premier, je l’ai déniché dans un supermarché asiatique pour la modique somme de 20-25€ il y a plus de 10 ans. Le second m’a été offert quelques semaines plus tard pour un Noël ou un anniversaire.
Bien que ce soient des couteaux japonais, je les utilise pour absolument tout : cuisine japonaise (bien évidemment), française, italienne, nord-africaine… Le santoku s’adapte à tous les types de cuisines.
Le couteau santoku, c’est pour moi LE meilleur couteau pour débutant qui ne veut pas se ruiner. Si j’en utilise depuis tout ce temps, même si je ne suis plus un débutant en cuisine japonaise, c’est que d’une part, ils fonctionnent encore très bien, et d’autre part les couteaux milieux de gamme et haut de gamme peuvent représenter un budget conséquent. Je préfère mettre ce budget ailleurs.
Tout ça pour dire que vous soyez un cuisinier débutant cherchant votre premier couteau de qualité ou un passionné souhaitant élargir sa collection, le couteau santoku mérite qu’on s’attarde dessus. Dans cet article, je vais tout vous expliquer, depuis ses origines jusqu’à comment choisir celui qui vous accompagnera pour de nombreuses années en cuisine japonaise et bien au-delà.
On va découvrir ensemble pourquoi ce couteau de cuisine japonais est devenu si populaire en Occident, quelles sont ses caractéristiques, et surtout, comment choisir le modèle qui correspond à vos besoins et à votre budget. Pas besoin de se ruiner pour avoir un outil efficace – je vous partagerai mes conseils pour tous les niveaux de prix !
Alors, prêt à découvrir pourquoi le santoku pourrait bien devenir votre meilleur allié en cuisine ? C’est parti !
Qu’est-ce qu’un couteau Santoku ?
Le santoku n’est pas un couteau avec une histoire vieille de plusieurs siècles, contrairement à ce qu’on pourrait croire. C’est un couteau japonais relativement récent qui s’est développé après la Seconde Guerre mondiale. Son nom « santoku » (三徳) signifie littéralement « trois vertus » et fait référence à sa capacité à traiter efficacement trois types d’aliments : la viande, le poisson et les légumes.
Origine et histoire du couteau Santoku
Le santoku est en quelque sorte le résultat d’une fusion entre la tradition japonaise et les influences occidentales. Après la seconde guerre mondiale, les Japonais ont commencé à intégrer davantage de viande dans leur alimentation, ce qui a créé le besoin d’un couteau multifonction japonais plus polyvalent que les modèles traditionnels souvent spécialisés pour un usage unique et précis.
La forme du santoku s’inspire du nakiri (couteau à légumes rectangulaire) mais avec une extrémité arrondie qui le rend plus polyvalent. C’est un peu la réponse japonaise au couteau de chef occidental, mais avec des caractéristiques bien spécifiques à la cuisine japonaise traditionnelle.

Caractéristiques distinctives du Santoku
La forme spécifique de la lame
La première chose qu’on remarque quand on voit un santoku, c’est sa forme assez particulière. La lame santoku fait généralement entre 12 et 18 cm de long (les plus courants font 16-17 cm), avec une hauteur assez importante et une extrémité arrondie au lieu de la pointe qu’on trouve sur un couteau de chef classique.
Cette forme n’est pas un hasard : elle permet un mouvement de coupe vertical plutôt qu’un mouvement de bascule. Si vous avez l’habitude des couteaux occidentaux, ça peut sembler bizarre au début, mais c’est super efficace une fois qu’on s’y habitue.
En vrai, que vous coupiez horizontalement, avec votre légume, votre viande ou votre poisson, qui est posé sur une planche ou découper, ou verticalement, ça ne changera pas la face du monde, mais c’est bien de savoir qu’on peut couper verticalement avec un couteau santoku.
Le tranchant et l’angle d’affilage
Traditionnellement, les couteaux japonais sont affûtés avec un angle plus aigu que les couteaux occidentaux, ce qui leur donne un tranchant incroyable (attention les doigts !!!). Le santoku japonais authentique ne fait pas exception à cette règle.
Les santoku traditionnels sont affûtés de façon asymétrique (plus sur un côté que l’autre), mais la plupart des modèles commercialisés à l’international ont maintenant un double biseau pour s’adapter aux techniques de coupe occidentales.
Un truc à savoir : plus l’angle est aigu, plus le couteau santoku coupe bien, mais plus il est fragile aussi. C’est pour ça que les couteaux japonais demandent un peu plus d’attention que nos bons vieux couteaux européens.
Petit bonus : Les planches à découper en verre (oui oui, ça existe, ma soeur en a une) abîment énormément les couteaux et vous vous retrouvez facilement avec une lame émoussée qui ne coupe quasi plus. Privilégiez les planches en bois.
Les alvéoles (Granton edge) et leur fonction
Vous avez peut-être remarqué ces petits creux sur la lame de certains santoku ? On appelle ça des alvéoles ou « Granton edge » en anglais, et ça sert à empêcher les aliments de coller à la lame santoku.
C’est particulièrement utile quand vous coupez des trucs comme des pommes de terre ou des courgettes qui ont tendance à s’agripper au métal comme si leur vie en dépendait. Ces petites poches d’air créent une séparation entre l’aliment et la lame.
Tous les santoku n’en ont pas, et franchement, ce n’est pas un critère indispensable pour choisir votre couteau. Mais c’est un petit plus qui peut être pratique 😉.

Couteau Santoku vs autres couteaux japonais
Santoku et Gyuto : différences et similitudes
Le Gyuto, c’est le « couteau de chef japonais« . Contrairement au santoku, il a une lame plus longue et une pointe prononcée. Sa forme légèrement incurvée permet un mouvement de bascule, comme nos couteaux occidentaux.
Alors que le santoku excelle dans les coupes directes (trancher, émincer), le Gyuto est plus à l’aise avec les techniques qui nécessitent une pointe, comme désosser ou découper des parties précises. C’est un peu comme choisir entre une voiture compacte et une berline : chacune a ses forces selon l’usage.
Si vous hésitez entre santoku vs gyuto, pensez à votre style de cuisine et à vos techniques de coupe préférées.
Santoku et Nakiri : spécialisation vs polyvalence
Le Nakiri est un couteau japonais spécialisé dans la découpe des légumes. Avec sa forme rectangulaire et sa lame droite, il est parfait pour les coupes nettes et précises des légumes.
Si vous êtes un grand mangeur de légumes ou si vous suivez un régime végétarien, le Nakiri pourrait être intéressant. Mais pour la plupart d’entre nous qui cuisinons un peu de tout, le santoku offre une polyvalence bien plus pratique au quotidien.
En gros, le santoku se situe quelque part entre nos couteaux occidentaux polyvalents et les couteaux japonais ultra-spécialisés. C’est ce qui fait son charme et sa popularité grandissante même en dehors du Japon.
Pourquoi utiliser un couteau Santoku ?
C’est la question à 1000 yens ! Pourquoi choisir un santoku plutôt qu’un autre type de couteau ? Il y a plusieurs bonnes raisons qui expliquent pourquoi ce couteau japonais gagne en popularité dans nos cuisines occidentales.
La polyvalence inégalée du Santoku
Performance sur les légumes
Le santoku est vraiment excellent pour couper des légumes. Sa lame santoku large et plate permet de faire des tranches nettes, que ce soit pour émincer finement des oignons ou pour découper des légumes plus coriaces comme les carottes ou les choux.
J’utilise le mien pour préparer tous les légumes de mes plats japonais comme les gyoza, mais aussi pour mes gratins dauphinois ou mes salades composées. Au moment de couper on sent que ça « glisse tout seul » et bien mieux qu’un couteau occidental.
Découpe de viande efficace
Pour la viande, le santoku se débrouille aussi très bien. Sa lame est suffisamment robuste pour trancher du poulet, du bœuf ou du porc sans difficulté.
Alors non, ce n’est pas l’idéal pour désosser un poulet entier ou découper une côte de bœuf avec l’os (il y a des couteaux spécifiques pour ça), mais pour 90% des préparations de viande quotidiennes, comme couper un magret de canard en tranches ou découper du pour pour faire un poulet teriyaki , il fait parfaitement le job.
Préparation du poisson
Le tranchant fin du santoku en fait aussi un bon allié pour travailler le poisson. Que ce soit pour lever des filets de dorade ou découper un pavé de saumon, il offre une précision appréciable.
Avec un couteau santoku, vous pouvez sans soucis faire ma recette de tataki de saumon (en plus vous avez ma vidéo youtube sur l’article 😉)
Avantages ergonomiques pour tous les utilisateurs de couteau santoku
Équilibre et prise en main
Un bon couteau santoku se distingue par son équilibre parfait. Ni trop lourd, ni trop léger, il repose confortablement dans la main. C’est important quand on passe du temps en cuisine ! 🔪
La taille moyenne de la lame santoku (plus courte qu’un couteau de chef occidental) le rend aussi plus maniable, surtout si vous n’avez pas des grosses pattes de panda comme moi 🐼.
C’est d’ailleurs pour ça que beaucoup de femmes préfèrent le santoku au couteau de chef classique.
Réduction de la fatigue lors de longues sessions de coupe
Grâce à son poids bien réparti et sa taille raisonnable, le santoku permet de travailler longtemps sans fatigue excessive. Si vous avez déjà préparé un repas pour 10 personnes, vous voyez de quoi je veux parler.
Le choix idéal pour les cuisiniers débutants
Simplicité d’utilisation vs technique requise
C’est là que le santoku entre en jeu : il est incroyablement facile à prendre en main, même pour les débutants. Sa forme permet naturellement d’adopter une bonne technique de coupe, que vous commenciez à peine à vous intéresser à la cuisine japonaise, ou que vous ayez déjà de très bonnes bases.
C’est un peu comme apprendre à conduire : est-ce qu’avoir une Ferrari le jour de l’obtention du permis est une bonne idée ? Probablement pas. De même, commencer avec un couteau japonais ultra spécialisé et très cher n’est pas idéal pour un débutant.
Le santoku, lui, offre un excellent compromis entre performance et accessibilité.
Adaptabilité à différentes techniques de coupe
Que vous soyez habitué à la technique occidentale de bascule ou que vous vouliez essayer la méthode japonaise de coupe verticale, le santoku s’adapte à votre style. Cette flexibilité en fait un excellent choix pour ceux qui développent encore leur technique.
C’est le couteau que je recommande systématiquement à mes amis qui veulent améliorer leur jeu en cuisine sans investir dans une collection complète de couteaux spécialisés. Un bon santoku peut faire 80% du travail en cuisine – et franchement, c’est déjà énorme !
Comment utiliser un couteau Santoku correctement
Vous avez votre santoku en main et vous êtes prêt à trancher comme un chef ? Parfait ! Mais avant de vous lancer, quelques techniques de base vous aideront à tirer le meilleur parti de votre nouveau couteau japonais.
Techniques de coupe adaptées au Santoku
Mouvement de balancier vs traction
Contrairement au couteau de chef occidental qui favorise un mouvement de balancier (où la pointe reste en contact avec la planche), le santoku est conçu pour une action plus directe : lever la lame entièrement et l’abaisser dans un mouvement vertical.
Cette technique de « haut en bas » est typique de la cuisine japonaise et permet des coupes très précises. Vous pouvez aussi utiliser un léger mouvement de traction (tirer le couteau vers vous tout en coupant) pour certains aliments.
Ne vous inquiétez pas si vous n’êtes pas à l’aise tout de suite avec cette technique. Au début, j’utilisais mon santoku comme un couteau occidental. Avec le temps, j’ai naturellement adopté un style plus proche de la technique japonaise, car c’est ce qui fonctionne le mieux avec ce type de lame.
Position des doigts et maintien sécuritaire
La position idéale pour tenir un santoku est la « prise en pince » : le pouce et l’index pincent la lame juste au-dessus du manche, tandis que les autres doigts enveloppent le manche.
Pour la main qui tient l’aliment, adoptez la « griffe de chat » : doigts repliés avec les jointures servant de guide pour la lame, le pouce et le petit doigt tenant l’aliment en place. Cette position protège vos doigts tout en vous permettant de guider précisément la lame.
Ces techniques de base sont valables pour tous les types de couteaux, mais elles sont particulièrement importantes avec un couteau japonais comme le santoku dont le tranchant est souvent plus affilé qu’un couteau occidental.
Types d’aliments et coupes spécialisées
Brunoise et julienne de légumes
Le santoku excelle dans les coupes précises comme la brunoise (petits dés) et la julienne (fines lamelles). Sa lame santoku large et plate permet de réaliser ces coupes techniques avec une précision remarquable.
Pour la brunoise, commencez par trancher finement, puis coupez en bâtonnets avant de trancher perpendiculairement pour obtenir des dés. La stabilité de la lame du santoku facilite grandement cette opération.
Cette précision est particulièrement utile pour les recettes de cuisine japonaise.
Découpe de viande en tranches fines
Pour trancher finement la viande, le santoku offre un avantage certain grâce à son tranchant aigu. Que ce soit pour du carpaccio de bœuf ou des tranches de rôti, vous obtiendrez des résultats très nets.
Une astuce : assurez-vous que votre viande soit bien ferme (éventuellement après un passage au réfrigérateur) pour des coupes plus nettes. Votre santoku fera le reste !
Préparation de poisson pour sushi et sashimi
Bien qu’il ne remplace pas un couteau spécialisé pour les sushis, le santoku peut tout à fait réaliser des tranches de poisson propres pour des préparations maison.
La clé est d’utiliser un mouvement de traction unique et fluide, sans mouvement de scie, pour obtenir des tranches nettes. Pour les poissons de taille moyenne comme le saumon ou le thon, vous pourrez réaliser des découpes tout à fait correctes pour vos teriyaki de thon.
Erreurs courantes et comment les éviter
Mouvements à proscrire
Évitez d’utiliser votre santoku pour des mouvements de torsion ou pour couper des aliments très durs comme des os ou des courges très fermes. Sa lame fine n’est pas conçue pour cela et pourrait s’ébrécher.
N’utilisez jamais votre santoku comme un couteau à pain. Chaque type de couteau a sa fonction, et pour les tâches lourdes, mieux vaut sortir un couteau plus robuste et avec des dents.
J’ai appris cette leçon à mes dépens en ébréchant légèrement la lame de mon premier santoku en tentant de couper un poulet avec les os. Depuis, j’utilise les bons outils pour les bonnes tâches ! 😅
Surfaces de coupe inappropriées
N’utilisez jamais votre santoku sur des surfaces dures comme le verre, le marbre ou le granit. Ces matériaux émoussent rapidement le tranchant délicat de votre couteau japonais.
Investissez dans une bonne planche à découper en bois ou en plastique dense. Le bois d’érable ou de noyer est idéal, mais une planche en plastique de bonne qualité fera aussi l’affaire. Votre couteau vous remerciera par des années de bons et loyaux services.
Quel est le meilleur couteau Santoku selon votre budget ?
Parlons argent 💸 C’est bien beau de vouloir un santoku, mais dans quelle gamme de prix couteau santoku investir ? Voici mon guide pour chaque budget, basé sur mon expérience personnelle et mes recherches.
Couteaux Santoku d’entrée de gamme (30-50€)
Marques recommandées avec liens affiliés
Dans cette gamme de prix, vous pouvez trouver des santoku tout à fait honorables qui feront le travail. Des marques comme Victorinox, Mercer ou Kai proposent des modèles d’entrée de gamme fiables.
Couteau santoku Kai (c’est celui que j’utilise et qu’on m’a offert il y a au moins 10 ans )
Ces couteaux japonais abordables sont parfaits pour débuter ou pour ceux qui ne sont pas sûrs de vouloir investir davantage. Personnellement, j’ai commencé avec un santoku à moins de 20€ acheté en supermarché asiatique et le couteau de la marque Kai, même s’ils commencent à être un peu abimés après plus de 10 ans, ils coupent encore très bien.
Rapport qualité-prix et durabilité
À ce prix, attendez-vous à des lames en acier inoxydable standard. Ces couteaux nécessiteront un affûtage plus fréquent qu’un modèle haut de gamme, mais resteront parfaitement fonctionnels pour un usage domestique régulier.
La durabilité dépendra beaucoup de vos soins. Si vous suivez les conseils d’entretien de base (pas de lave-vaisselle, séchage immédiat, stockage approprié), même un santoku d’entrée de gamme peut durer plusieurs années.
Santoku milieu de gamme (50-100€)
ZWILLING et autres marques reconnues
Dans cette catégorie, on trouve des marques comme ZWILLING, Wüsthof, ou Global, qui offrent des santoku de très bonne qualité alliant performance et durabilité.
Zwilling twin pollux couteau santoku
Ces couteaux représentent un excellent compromis entre qualité et prix. Ils utilisent des aciers de meilleure qualité et bénéficient de processus de fabrication plus rigoureux.
Si vous recherchez des avis couteau santoku fiables, ces marques bénéficient généralement d’excellentes critiques tant des amateurs que des professionnels.
Caractéristiques justifiant l’investissement
À ce niveau de prix, vous commencez à bénéficier d’un meilleur acier, d’un tranchant qui tient plus longtemps et d’une finition plus soignée. Ces couteaux santoku resteront affûtés plus longtemps et offriront une meilleure sensation en main.
Si vous cuisinez régulièrement et que vous cherchez un couteau pour les années à venir, cette gamme de prix offre probablement le meilleur rapport qualité-prix. Vous aurez un vrai bon outil sans vous ruiner.
Santoku haut de gamme (100€+)
Couteaux artisanaux vs production industrielle
Dans l’univers des couteaux haut de gamme, vous avez le choix entre des pièces de production industrielle de luxe (comme les Miyabi de Zwilling) et de véritables couteaux japonais artisanaux forgés à la main par des maîtres couteliers japonais.
Zwilling miyabi couteau santoku
Ces couteaux ne sont pas de simples outils, mais de véritables œuvres d’art fonctionnelles. Est-ce nécessaire pour cuisiner à la maison ? Probablement pas. Est-ce un plaisir de les utiliser ? Absolument !
Aciers spéciaux et procédés de fabrication uniques
À ce niveau, on parle d’aciers haute performance comme le VG-10, le SG2 ou les aciers damassés multicouches. Ces matériaux offrent une rétention de tranchant exceptionnelle, une résistance accrue et souvent un aspect visuel magnifique avec des motifs damassés.
Si vous êtes un passionné de cuisine japonaise ou de coutellerie, ces santoku haut de gamme sont des investissements qui vous accompagneront potentiellement toute votre vie avec l’entretien approprié.
Notre sélection par catégorie de prix
Meilleur premier Santoku pour débutant
Pour un premier santoku, je recommande vivement le Victorinox à lame alvéolée. À environ 40-45€, il offre un excellent rapport qualité-prix et une robustesse qui pardonne les erreurs des débutants.
Victorinox couteau type santoku avec lame alvéolée.

Il n’est pas le plus joli ni le plus noble des couteaux japonais, mais il est efficace, durable et abordable – parfait pour apprendre sans stress !
Meilleur Santoku pour usage intensif
Pour ceux qui cuisinent beaucoup et recherchent un outil fiable sans se ruiner, le Global G-46 à environ 100€ est un excellent choix. Son design monobloc en acier inoxydable est hygiénique, durable et offre un équilibre parfait.

C’est un couteau qui a fait ses preuves dans de nombreuses cuisines professionnelles et qui supporte sans broncher un usage quotidien intensif. Un investissement raisonnable pour un outil de qualité professionnelle.
Quel est le couteau qui coupe le mieux ? Comparaison du Santoku avec d’autres types
C’est LA question que tout le monde se pose : est-ce que le santoku coupe vraiment mieux que les autres types de couteaux ? La réponse n’est pas si simple, car tout dépend de ce que vous coupez et comment vous le coupez. Voyons ça de plus près.
Santoku vs couteau de chef occidental
Différences de conception et d’équilibre
Le couteau de chef occidental a généralement une lame plus longue (20-25cm) et plus incurvée que le santoku. Cette courbure facilite le mouvement de bascule où la pointe reste en contact avec la planche.
Le santoku, avec sa lame plus courte (16-18cm) et plus droite, favorise un mouvement vertical. Cette différence de conception influence beaucoup la façon dont on utilise ces couteaux et le type de coupe qu’ils réalisent le mieux.
Le couteau de cuisine japonais est aussi généralement plus léger que son équivalent occidental, ce qui peut réduire la fatigue lors de longues sessions de coupe, mais offre moins de puissance pour les tâches plus lourdes.
Adaptabilité aux techniques de coupe
Le couteau de chef est plus polyvalent pour certaines techniques occidentales comme le rocking (mouvement de bascule continu), tandis que le santoku excelle dans les coupes précises et les tranches fines.
Si vous êtes déjà habitué à la technique occidentale et que vous ne souhaitez pas adapter votre style, le couteau de chef pourrait vous convenir mieux. Mais si vous êtes ouvert à apprendre de nouvelles techniques ou si vous préférez naturellement les mouvements verticaux, le santoku sera un bon choix.
Performance comparative sur différents aliments
Test sur légumes, viandes et poissons
Pour les légumes, le santoku est souvent supérieur au couteau de chef, notamment pour les coupes fines et précises. Sa lame plus large permet aussi de ramasser facilement les ingrédients coupés pour les transférer dans un plat ou une poêle.
Pour la viande, les deux types de couteaux se valent globalement, avec un léger avantage au couteau de chef pour les grosses pièces grâce à sa lame plus longue. Pour le poisson, le santoku a généralement l’avantage grâce à sa lame plus fine qui permet des coupes plus nettes.
J’utilise les deux types de couteaux régulièrement, et pour être honnête, je me tourne plus souvent vers mon santoku pour les tâches quotidiennes.
Résistance du tranchant dans la durée
Les couteaux japonais comme le santoku sont généralement fabriqués avec des aciers plus durs, ce qui leur permet de garder leur tranchant plus longtemps. Cependant, cette dureté accrue les rend aussi plus fragiles et susceptibles de s’ébrécher si on ne les utilise pas correctement.
Les couteaux de chef occidentaux sont souvent plus robustes mais nécessitent un affûtage plus fréquent. C’est un compromis entre durée du tranchant et résistance.
Pour quels usages privilégier le Santoku ?
Types de cuisine adaptés
Le santoku brille particulièrement dans la cuisine japonaise et asiatique en général, qui implique beaucoup de légumes et de coupes précises. Il est aussi excellent pour la cuisine méditerranéenne et végétarienne.
Si votre alimentation comprend beaucoup de légumes, de poissons et de viandes découpées finement, le santoku sera votre meilleur allié.
Profils d’utilisateurs idéaux
Le santoku convient particulièrement bien aux personnes qui :
- Ont des mains plus petites
- Préfèrent un couteau plus léger
- Cuisinent beaucoup de légumes
- Apprécient la précision plutôt que la puissance
- Débutent dans l’univers des couteaux japonais
Si vous vous reconnaissez dans cette description, un bon santoku pourrait bien devenir votre couteau favori en cuisine.
Guide d’achat : comment choisir son couteau Santoku
Maintenant qu’on a fait le tour des avantages du santoku, parlons concrètement des critères à considérer au moment de l’achat. Comment faire le bon choix parmi tous les modèles disponibles ? Je comprends que ça puisse être difficile, mais on va faire le point ensemble.
Les types d’acier et leur impact
Acier inoxydable vs acier au carbone
L’acier inoxydable est le choix le plus courant pour les couteaux santoku destinés au marché occidental. Il résiste à la corrosion, ne nécessite pas un entretien obsessionnel et convient parfaitement à un usage domestique.
L’acier au carbone, quant à lui, peut atteindre un tranchant plus fin et plus agressif, mais il demande beaucoup plus d’attention : il faut le nettoyer et le sécher immédiatement après usage pour éviter la rouille. C’est le choix des puristes de la cuisine japonaise et des professionnels. De manière générale, je vous déconseille le lave-vaisselle pour ce type de couteau.
Pour un premier couteau japonais, je recommande de commencer avec l’acier inoxydable. Mes deux santoku sont en inox et ils font très bien le job depuis des années. Si vous tombez amoureux de la coutellerie japonaise, vous pourrez toujours explorer l’acier au carbone plus tard. Il serait dommage d’acheter un couteau cher, et de l’abimer par ignorance non ?
Dureté Rockwell et son importance
La dureté de l’acier, mesurée sur l’échelle Rockwell (HRC), influence directement les performances du couteau santoku. Les santoku ont généralement une dureté entre 56 et 63 HRC.
Plus le chiffre est élevé, plus l’acier est dur, ce qui permet de maintenir un tranchant fin plus longtemps. Cependant, un acier très dur est aussi plus difficile à affûter et plus fragile.
Pour un usage domestique standard, un santoku avec une dureté entre 56 et 60 HRC
Pour un usage domestique standard, un santoku avec une dureté entre 56 et 60 HRC offre un bon compromis. Les modèles haut de gamme peuvent atteindre 61-63 HRC pour ceux qui recherchent des performances optimales du meilleur couteau santoku.

Anatomie d’un bon Santoku
Structure de la lame (forge vs estampage)
Les lames santoku forgées sont créées à partir d’un seul morceau d’acier chauffé et martelé en forme. Elles sont généralement plus lourdes, plus robustes et souvent considérées comme supérieures.
Les lames estampées sont découpées dans une feuille d’acier, comme à l’emporte-pièce. Elles sont généralement plus légères et moins chères, mais les modèles haut de gamme peuvent offrir d’excellentes performances.
Mes deux santoku sont estampés et ils font parfaitement le travail pour un usage domestique. Si vous cuisinez intensivement ou si vous cherchez un couteau santoku pour la vie, une lame forgée pourrait valoir l’investissement supplémentaire.
Types de manches et matériaux
Les manches traditionnels japonais (wa-handle) sont généralement cylindriques ou octogonaux, en bois ou en corne. Ils sont légers et placent le centre de gravité vers la lame santoku.
Les manches occidentaux (yo-handle) sont plus ergonomiques, souvent en plastique, résine ou bois composite. Ils offrent une prise en main plus sécurisante pour les débutants.
Le choix du manche est largement une question de préférence personnelle. Si possible, essayez de tenir le couteau santoku en main avant l’achat pour vous assurer qu’il est confortable pour vous. La sensation d’équilibre est cruciale pour une utilisation confortable à long terme.
Santoku français et marques nationales
Tradition française appliquée au design japonais
Quelques fabricants français comme Opinel ou Sabatier proposent désormais leurs versions du santoku, apportant leur savoir-faire à ce design japonais.

Ces couteaux santoku français offrent souvent un intéressant mélange des traditions culinaires, avec parfois des adaptations pour les préférences européennes. C’est un peu comme si la coutellerie japonaise et la coutellerie française avait eu un enfant, ça serait ce couteau santoku de la marque Opinel.
Avantages des fabrications européennes
Les santoku européens sont généralement un peu plus robustes et polyvalents que leurs homologues japonais, sacrifiant parfois un peu de finesse pour plus de durabilité.
Si vous êtes attaché au savoir-faire français ou si vous préférez un santoku légèrement plus costaud, ces options valent le coup d’œil. De plus, le service après-vente est souvent plus simple avec des marques nationales.
Où acheter un Santoku fiable
Boutiques spécialisées vs achats en ligne
Les boutiques spécialisées offrent l’avantage de pouvoir tenir le couteau santoku en main avant l’achat, ce qui est crucial pour évaluer l’équilibre et le confort. Le personnel peut aussi vous conseiller selon vos besoins spécifiques.
Les achats en ligne offrent généralement un choix plus large et des prix couteau santoku plus compétitifs. Des sites comme Amazon permettent de lire les avis couteau santoku d’autres utilisateurs, ce qui peut être précieux.
Personnellement, j’ai acheté mon premier santoku dans un supermarché asiatique, et le second était un cadeau. Si vous débutez, n’hésitez pas à commencer avec un modèle abordable avant d’investir dans un couteau japonais plus haut de gamme.
Garanties et services après-vente
Vérifiez toujours les conditions de garantie avant d’acheter. Certaines marques offrent des garanties à vie contre les défauts de fabrication, ce qui peut justifier un investissement plus important.
Renseignez-vous également sur les services d’affûtage proposés par le vendeur ou le fabricant. Certaines boutiques spécialisées offrent des services d’entretien qui peuvent prolonger considérablement la vie de votre couteau santoku.
Entretien et affûtage de votre couteau Santoku
Un bon santoku peut vous servir pendant des années, voire des décennies, mais à condition d’en prendre soin correctement. Voici les bases à connaître pour préserver le tranchant et la durabilité de votre couteau japonais. 🔪
Routine d’entretien quotidienne
Nettoyage approprié
Premier commandement : jamais, JAMAIS de lave-vaisselle pour votre santoku ! La chaleur, l’humidité prolongée et les détergents agressifs sont l’ennemi juré des bons couteaux.
Lavez toujours votre couteau japonais à la main, avec un peu de savon doux et de l’eau tiède. Nettoyez-le juste après utilisation, surtout si vous avez coupé des aliments acides comme des tomates ou des agrumes.
Séchez immédiatement votre couteau santoku après lavage, même s’il est en acier inoxydable. L’humidité est la principale cause de dégradation des lames et des manches.
Stockage optimal
Évitez de jeter votre santoku dans un tiroir avec d’autres ustensiles. Les chocs entre les lames peuvent ébrécher le tranchant délicat de votre couteau japonais. Ça serait vraiment bête d’abimer un couteau que vous utilisez que depuis quelques jours…
Les options de stockage recommandées sont :
- Un bloc à couteaux avec des fentes assez larges
- Une barre magnétique murale (je trouve ça trop classe, mais j’en ai pas 😂)
- Des protège-lames individuels si vous devez ranger vos couteaux dans un tiroir
Un bon stockage préserve non seulement le tranchant, mais aussi la sécurité de vos doigts quand vous cherchez un ustensile dans le tiroir !
Méthodes d’affûtage spécifiques au Santoku
Pierres japonaises vs autres méthodes
La méthode traditionnelle pour affûter un couteau japonais consiste à utiliser des pierres à eau japonaises (whetstones). Cette technique offre les meilleurs résultats mais demande de la pratique et du temps.
Si vous débutez, vous pouvez commencer avec des méthodes plus simples comme :
- Les affûteurs à angle fixe (type Minosharp)
- Les baguettes d’affûtage en céramique
- Les guides d’affûtage pour pierre à eau
Je suis un mauvais élève parce que je n’ai jamais affûté mes couteaux japonais, mais ils coupent toujours bien. Dans la théorie il faut utiliser une pierre à eau pour les couteaux santoku, ou un affûteur à angle fixe pour conserver la qualité du tranchant.
Fréquence d’affûtage recommandée
Pour un usage domestique régulier, un affûtage complet tous les 2-3 mois suffit généralement. Entre ces sessions, l’utilisation d’une baguette en céramique (et non un fusil en acier qui endommagerait le tranchant délicat) peut aider à maintenir le fil de la lame santoku.
Apprenez à reconnaître les signes d’un couteau qui s’émousse : il commence à glisser sur la peau d’une tomate au lieu de la percer directement, ou vous devez forcer davantage pour couper des légumes.
Signes de détérioration à surveiller
Reconnaître un tranchant émoussé
Un santoku émoussé nécessite plus de pression pour couper, peut glisser sur les surfaces lisses comme les tomates ou les poivrons, et laisse des coupes irrégulières ou déchirées.
Ironiquement, un couteau émoussé est plus dangereux qu’un couteau tranchant, car il vous oblige à forcer, augmentant le risque de dérapage et de blessure. Et là, attention les doigts ! Un couteau qui ripe il n’y a rien de pire…
N’attendez pas que votre santoku soit complètement émoussé pour l’entretenir. Un entretien régulier est bien plus simple qu’une remise en état complète.
Problèmes structurels à ne pas ignorer
Quelques signes qui nécessitent une attention immédiate :
- Des ébréchures sur le fil de la lame
- Des taches de rouille (pour les aciers au carbone)
- Un jeu dans le manche
- Une lame qui se voile
Les petites ébréchures peuvent généralement être corrigées par un bon affûtage, mais les problèmes plus graves comme une lame fissurée ou un manche qui se détache nécessitent l’intervention d’un professionnel ou le remplacement du couteau santoku.
Questions fréquentes sur le couteau Santoku
Voici les réponses aux questions les plus fréquentes que je reçois à propos du couteau santoku :
Santoku avec ou sans alvéoles ?
Les alvéoles (ou Granton edge) sont ces petits creux qu’on voit sur certains santoku. Ils servent à réduire l’adhérence des aliments à la lame, surtout pour les légumes humides ou collants.
Est-ce indispensable ? Pas vraiment. C’est pratique, mais ça ne change pas fondamentalement les performances du couteau santoku. Mes deux santoku n’en ont pas, et je n’ai jamais ressenti le besoin d’en avoir.
Si vous avez le choix entre deux modèles similaires, l’un avec alvéoles et l’autre sans, prenez celui qui vous plaît visuellement ou celui qui est au meilleur prix. Ce n’est pas un critère déterminant pour la qualité du couteau japonais.
Peut-on utiliser un Santoku comme couteau principal ?
Absolument ! Pour la plupart des cuisiniers amateurs, un bon santoku peut parfaitement servir de couteau principal, couvrant environ 90% des tâches quotidiennes en cuisine.
Vous pourriez éventuellement le compléter avec un petit couteau d’office pour les travaux minutieux et un couteau à pain pour les croûtes épaisses, mais pour l’essentiel, le santoku est remarquablement polyvalent.
J’utilise principalement mes deux santoku depuis des années, et ils répondent à la grande majorité de mes besoins en cuisine japonaise comme en cuisine occidentale.
Comment prolonger la durée de vie de mon Santoku ?
Outre les conseils d’entretien déjà mentionnés, voici quelques astuces supplémentaires :
- Utilisez toujours une planche à découper adaptée (bois ou plastique, jamais verre ou pierre)
- Évitez les mouvements de torsion qui pourraient stresser la lame
- N’utilisez pas votre santoku pour couper des os, des aliments surgelés ou des objets non alimentaires
- Faites affûter professionnellement votre couteau une fois par an, même si vous l’entretenez régulièrement
Ces petites habitudes peuvent vraiment faire la différence entre un couteau santoku qui dure quelques années et un qui vous accompagne pendant des décennies.
Différences régionales dans la conception des Santoku
Les santoku japonais authentiques ont généralement une lame plus fine et plus dure, souvent avec un tranchant asymétrique qui privilégie les droitiers.
Les versions occidentales (allemandes, françaises) tendent à être un peu plus épaisses, avec un tranchant symétrique et parfois un manche plus ergonomique adapté aux préférences européennes.
Ces différences subtiles peuvent influencer votre choix selon votre technique de coupe et vos préférences personnelles. Si vous êtes habitué aux couteaux occidentaux, un santoku de fabrication allemande ou française pourrait faciliter la transition.
Avec quoi servir votre couteau Santoku ?
Un bon santoku mérite de bons accompagnements ! Voici quelques suggestions d’accessoires qui complèteront parfaitement votre couteau japonais :
La planche à découper idéale
Une planche en bois dur comme l’érable ou le noyer est l’option idéale pour préserver le tranchant de votre santoku. Les planches en bois de bout (où le grain du bois est vertical) sont particulièrement recommandées pour les couteaux japonais.
Si vous préférez une planche plus facile d’entretien, optez pour un modèle en polyéthylène de haute densité, qui sera suffisamment doux pour ne pas émousser votre lame santoku.
Évitez à tout prix les planches en verre, en granit ou en marbre qui sont les pires ennemies du tranchant de votre couteau santoku.
Autres couteaux complémentaires
Si vous souhaitez créer une petite collection qui complète votre santoku, voici quelques suggestions :
- Un petit couteau d’office japonais (petty) pour les travaux précis
- Un couteau à pain pour les croûtes dures
- Un couteau à désosser si vous travaillez souvent des pièces de viande entières
Avec ces trois ou quatre couteaux, vous couvrirez pratiquement tous vos besoins en cuisine.
Équipement d’entretien
Pour garder votre santoku en parfait état, quelques accessoires sont utiles :
- Une pierre à eau (1000/6000 grains) pour l’affûtage
- Une baguette en céramique pour l’entretien régulier du fil
- Un étui de protection ou une barre magnétique pour le rangement
Ces accessoires ne sont pas forcément nécessaires dès l’achat de votre premier couteau japonais, mais ils deviendront utiles avec le temps.
Pour conclure : le Santoku, un investissement qui en vaut la peine
Le couteau santoku représente un excellent point d’entrée dans l’univers fascinant des couteaux japonais. Sa polyvalence en fait un outil quotidien précieux, capable de transformer votre expérience en cuisine. 🍳
Que vous choisissiez un modèle d’entrée de gamme comme mon premier santoku à 25€ qui me sert toujours, ou que vous investissiez dans une pièce plus haut de gamme, l’important est de sélectionner un couteau qui vous correspond et avec lequel vous prendrez plaisir à cuisiner.
Rappelez-vous que le meilleur couteau santoku n’est pas nécessairement le plus cher, mais celui qui s’adapte à votre style de cuisine, à votre technique et à vos habitudes d’entretien.
L’acquisition d’un bon santoku pourrait bien marquer un tournant dans votre relation avec la cuisine, transformant des tâches autrefois fastidieuses en moments de plaisir culinaire. Et n’est-ce pas là l’essentiel ?
Alors, êtes-vous prêt à sauter le pas ? Croyez-moi, une fois que vous aurez expérimenté la différence qu’un bon santoku peut faire dans votre cuisine quotidienne, vous vous demanderez comment vous avez pu vous en passer pendant si longtemps !
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Benoît
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